mardi 23 février 2010
vendredi 12 février 2010
routes bras à méandres las résolus au si loin
au manque de terres aux ressacs éclatants
bord des désillusions claires et précises
la mer plus verte que le ciel
plus prononcée que les mains qui entrent
et ressortent plus lavées que les souvenirs
les mains tendres les mains dans l'oubli
du corps pleines des reflets escadrons
qui pillent l'âme de ce rayon au travers des nuages
au manque de terres aux ressacs éclatants
bord des désillusions claires et précises
la mer plus verte que le ciel
plus prononcée que les mains qui entrent
et ressortent plus lavées que les souvenirs
les mains tendres les mains dans l'oubli
du corps pleines des reflets escadrons
qui pillent l'âme de ce rayon au travers des nuages
mercredi 10 février 2010
sur "O Erotas" de Angélique Ionatos, (poème5) pour Eric Marais (Irène) que ma pensée accompagne par-delà l'espace et le temps.
frêles si doux les mois passés
sous la chaume imaginaire
et le trou d’un jaune de Naples
le doute s’écarte
l’incessante pluie enfin neige
enfin poème sur la peau
la route enveloppée
d’une clôture vieillie et belle
le vin de la vie
enfin enfle tes côtes
emplies de sommeil
et pourvues de liqueurs
le doute s’écarte
dans la délicatesse
du passage
et d’un adieu anonyme
au chemin du toujours
sous la chaume imaginaire
et le trou d’un jaune de Naples
le doute s’écarte
l’incessante pluie enfin neige
enfin poème sur la peau
la route enveloppée
d’une clôture vieillie et belle
le vin de la vie
enfin enfle tes côtes
emplies de sommeil
et pourvues de liqueurs
le doute s’écarte
dans la délicatesse
du passage
et d’un adieu anonyme
au chemin du toujours
sur "O Erotas" de Angélique Ionatos (poème4)
suite de pas des dizaines pensés
dans la neige et dans l’oubli
la luzerne joueuse
le piquant de l’hiver
sur la triste patrie
cordes perdues étranges
champs ras de l’éphémère
plaines aux flocons
les bras noirs
tout est perdu
les yeux la marche la voix
seule brisure et le temps
mauvais et reconnu
de ma terre aux bois sourds
qui force au regard
dans la neige et dans l’oubli
la luzerne joueuse
le piquant de l’hiver
sur la triste patrie
cordes perdues étranges
champs ras de l’éphémère
plaines aux flocons
les bras noirs
tout est perdu
les yeux la marche la voix
seule brisure et le temps
mauvais et reconnu
de ma terre aux bois sourds
qui force au regard
sur "O Erotas" de Angélique Ionatos (poème3)
des cris sur la lisse étendue
trop de couleurs
le rouge sciant les vagues
espoirs soupirs lacés
lenteurs crues et l’aube
un escalier de paille et de sable
jaune moissons fluctuant
l’horizon étiré de mollesses
les pêches aussi vivantes
qu’un essaim d’hydromels
trop de couleurs
le rouge sciant les vagues
espoirs soupirs lacés
lenteurs crues et l’aube
un escalier de paille et de sable
jaune moissons fluctuant
l’horizon étiré de mollesses
les pêches aussi vivantes
qu’un essaim d’hydromels
sur "O Erotas" d'Angélique Ionatos (poème2)
roulés de cambrures
vermeils sous nos couchants
sur l’herbe dure de la falaise
verte l’eau des ramures
on se parlerait poètes
dans les olives noires
et rien d’autre
le long des turquoises
dans le plat de l’étale
dans le noyer sous la brume
vermeils sous nos couchants
sur l’herbe dure de la falaise
verte l’eau des ramures
on se parlerait poètes
dans les olives noires
et rien d’autre
le long des turquoises
dans le plat de l’étale
dans le noyer sous la brume
sur "O Erotas" de Angélique Ionatos (poème1)
danse et ici belle nos tissus se rappelant
au feu des joues oh marbre de la candeur
grands rayons sur la terre sèche le blanc crayeux
danse ronde autour de l’arrachement
si folle sous la nuit des feuilles grasses
au bleu de tristesse
au tison du cœur
au son de l’amant
sa nourriture sa vigne qui court les coteaux
les bouts de leurs chairs au soleil
donnés à l’air qui prend aspire et emmène
au loin la luisance de leur toujours
sur la terre sèche au blanc cassant
au feu des joues oh marbre de la candeur
grands rayons sur la terre sèche le blanc crayeux
danse ronde autour de l’arrachement
si folle sous la nuit des feuilles grasses
au bleu de tristesse
au tison du cœur
au son de l’amant
sa nourriture sa vigne qui court les coteaux
les bouts de leurs chairs au soleil
donnés à l’air qui prend aspire et emmène
au loin la luisance de leur toujours
sur la terre sèche au blanc cassant
jeudi 4 février 2010
mardi 2 février 2010
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